Carence en fer et anémie — Pourraient-elles être la cause de votre fatigue et de votre manque d’endurance?
L’Organisation mondiale de la Santé des Nations Unies indique que l’anémie ferriprive est le trouble nutritionnel le plus prévalent au monde, qui touche plus de 20 % de la population mondiale1. L’anémie est le résultat d’une insuffisance de globules rouges ou d’hémoglobine dans le sang qui réduit la quantité d’oxygène qui peut être distribuée aux organes du corps et qui se traduit par une baisse du niveau d’énergie et d’autres symptômes. La cause la plus courante de l’anémie est la carence en fer2.
Bien que l’anémie puisse être diagnostiquée en mesurant la teneur en globules rouges et en hémoglobine du sang, bon nombre de personnes qui ont une carence en fer ne sont pas anémiques et souffrent sans avoir été diagnostiquées (voir « Détermination d’une carence en fer »). La carence en fer est plus courante dans les pays en développement, mais on l’observe aussi en Amérique du Nord dans certaines populations, telles que celle des femmes en âge de procréer. Environ 12 % des femmes âgées de 20 à 49 ans souffrent d’une carence en fer, et des taux de carence plus élevés se manifestent dans les populations latinophones et afro-américaines3. D’autres groupes à risque sont les Premières nations et les Indo-Canadiens, les végétaliens et les coureurs de fond8.
Les femmes préménopausées forment le groupe le plus susceptible de souffrir d’une carence en fer. Les pertes de fer pendant les menstruations laissent environ 25 % des femmes préménopausées souffrir d’une carence en fer. La demande accrue de fer pendant la grossesse et l’allaitement cause également une carence en fer. Chez les hommes adultes et les femmes postménopausées, la cause d’une carence en fer peut être grave : les deux tiers du temps, la cause est un saignement gastrointestinal4.
Les symptômes caractéristiques de la carence en fer sont les suivants :
• fatigue;
• faiblesse;
• endurance réduite;
• maux de tête;
• étourdissements et syncopes;
• faible tension artérielle;
• pâleur des lèvres et des paupières;
• perte de libido;
• froideur de l’extrémité des membres;
• affaiblissement du système immunitaire.
Ces symptômes apparaissent parce que l’organisme n’a pas suffisamment de fer pour produire l’hémoglobine qui transporte l’oxygène aux principaux organes (coeur, poumons et reins), ce qui les force à travailler trop dur. Les symptômes sont encore plus aigus chez les enfants, où la carence en fer peut réduire la capacité d’apprentissage et le champ de l’attention, tout en causant de l'irritabilité6.
Causes de la carence en fer
• Saignement gastrointestinal
• Saignement génito-urinaire
• Menstruations
• Dons de sang répétés
• Croissance
• Grossesse et allaitement
• Régime alimentaire déficient
• Malabsorption intestinale
• Parasites internes
• Chirurgie gastrique
Source: Handbook of Nutrition and Food, CRC Press*
Apport complémentaire en fer – Quelles sont les options?
Un des moyens de traiter les effets d’une carence en fer et d’une anémie consiste à ingérer des compléments de fer. Les formes les plus courantes du fer dans les compléments alimentaires sont le fumarate ferreux, le D-gluconate de fer(II), le sulfate de fer(II), la polymaltose hydroxyde de fer(III), le citrate de choline de fer et le citrate ferreux. Toutes ces formes de fer sont absorbées à des taux différents et causent des effets secondaires variés, tels que divers problèmes gastriques (crampes, constipation et dérangement gastrique). Certains suppléments de fer peuvent aussi interagir négativement avec d’autres suppléments nutritifs et les médicaments. Il est important d’adopter un complément de fer sécuritaire et efficace pour contrer la carence en fer.
Un des compléments de fer possibles est le Ferrochel®, une forme brevetée de fer chélaté (bisglycinate ferreux) que l’organisme absorbe facilement et dont l’usage prolongé est sécuritaire.
Comment obtenir le fer dont l’organisme a besoin sans effets secondaires?
Une clé de la compensation d’une carence en fer consiste à découvrir un complément de fer qui est biodisponible et absorbable.
Ferrochel®, un fer chélaté breveté (bisglycinate ferreux) est une forme de fer qui, comme le fer hémique (fer chélaté ou protéique), n’est pas touchée par des facteurs alimentaires qui peuvent gêner l’absorption du fer.
Des études publiées, menées par des chercheurs bien connus dans le monde, ont uniformément indiqué que Ferrochel® est plus biodisponible que d’autres formes de fer (voir le graphique ci-contre). Une étude menée auprès d’enfants anémiques a découvert que Ferrochel® affichait un taux d’absorption apparente de 70 % à 75 %, soit un taux 3,7 fois supérieur à celui du sulfate de fer(II) qu’on prescrit couramment6.*
Dans un groupe expérimental traité avec 30 mg de Ferrochel®, le produit a restauré l’hémoglobine chez des adolescents anémiques au même niveau que dans un groupe traité avec 120 mg de sulfate de fer(II). Encore plus important, 32 % des adolescents qui prenaient du sulfate de fer(II) se sont plaints d’effets gastriques secondaires (dérangements gastrointestinaux, constipation et diarrhée occasionnelle). Aucun adolescent qui a pris 30 mg de Ferrochel® ne s’est plaint d’effets secondaires7.*
Questions de sécurité du fer – À court et à long terme
Des études toxicologiques ont été menées au sujet du Ferrochel® à l’University of Utah. Les études ont comparé la sécurité de Ferrochel® avec celle du sulfate de fer(II). En tenant compte de l’absorption accrue de Ferrochel®, on a évalué qu’il était près de dix fois plus sécuritaire que le sulfate de fer10.
Une autre question liée aux compléments de fer est la sécurité à long terme du produit ingéré. On a évalué Ferrochel® dans le cadre d’une étude sur plusieurs générations de porcs. Ces derniers ont reçu dans leur alimentation 500 mg de Ferrochel® par jour pendant quatre générations de descendants. Les chercheurs qui ont examiné les animaux n’ont détecté aucune modification biochimique, physiologique ou histologique chez ces derniers, comparativement aux porcs normaux. Une analyse histochimique n’a découvert aucune accumulation anormale d’hémosidérine, ce qui signifie qu’il n’y avait aucune preuve d’accumulation excessive de fer dans les tissus des animaux. Cela prouve que même à une dose élevée de 500 mg/jour, le fer chélaté Ferrochel® peut être métabolisé, une preuve puissante de sa faible toxicité et de sa sécurité à long terme11.*
La sécurité générale proposée par Ferrochel® peut être une fonction de sa chimie brevetée unique, qui permet à l’organisme de traiter cette forme de fer plus facilement et efficacement que les autres formes de fer. Ferrochel® est absorbé de manière préférentielle dans le jéjunum, puis quelque peu dans le duodénum. Les sels de fer sont principalement absorbés dans le duodénum. L’absorption du Ferrochel® n’est pas inhibée par des éléments alimentaires, tels que les phytates, les phosphates, les autres métaux, les phénols et les tanins, qui réduisent généralement l’absorption des sels de fer. Le mouvement du Ferrochel® de la lumière aux cellules des muqueuses est plusieurs fois plus rapide et plus important que celui du fer inorganique parce qu’il ne suscite pas les réactions chimiques normalement associées aux sels de fer12.*
Essais de teneur en fer – Détermination d’une carence en fer
Si vous croyez que vous affichez les symptômes d’une carence en fer, vous devriez demander à votre professionnel de la santé de procéder à d’autres tests.
Diagnostic d’une carence en fer — Les essais en laboratoire pour détecter une carence en fer devraient être fondés sur un soupçon clinique et non sur la présence d’anémie. À un stade précoce, une carence en fer peut exister sans anémie patente, mais avec des symptômes non hématologiques.
• La ferritine sérique est le meilleur test de diagnostic d’une carence en fer. Une teneur en ferritine inférieure à 15 µg/L chez les adultes et à 12 µg/L chez les enfants indique une carence en fer. Ces seuils couvrent la plupart des cas de carence en fer; toutefois, une carence peut apparaître à des teneurs normalement faibles.
• Les mesures de la ferritine peuvent ne pas être fiables chez les patients souffrant d’inflammation aigue ou chronique, de malignité ou d’une maladie hépatique ou rénale. Les patients qui indiquent des niveaux élevés et persistants de ferritine sérique, sans trouble inflammatoire chronique, devraient faire l’objet de tests pour une surcharge de fer8.*
Définition des doses de fer pour traiter l’anémie
De combien de fer avez-vous besoin pour traiter une carence en fer? La British Columbia Medical Association recommande l’ingestion de 180 mg de fer élémentaire par jour pour reconstituer les réservoirs de fer. L’anémie peut être guérie entre 2 à 4 mois et la thérapie devrait se poursuivre pendant 4 à 6 mois ou jusqu’à ce que votre médecin observe des teneurs de 50 µg/L en ferritine sérique dans votre sang8.
Health First® Iron-First
Les capsules Iron-First sont conçues pour accroître la teneur en fer du sang d’une manière efficace et sécuritaire et sans effets secondaires inconfortables. Iron-First participe à la formation des globules rouges et à leur fonctionnement adéquat, ainsi qu’à la prévention de la carence en fer.
• Contient du Ferrochel® breveté (bisglycinate ferreux).
• S’absorbe plus facilement que d’autres formes de fer (démontré en clinique).
• Plus toléré par l’organisme que d’autres formes de fer (démontré en clinique).
• Produit non constipant.
• Préparé avec un complexe de vitamine C, d’acide folique, de vitamine B12, d’autres vitamines B importantes, de minéraux et d’extraits végétaux conçu pour faciliter l’absorption du fer.
• Capsule végétale facile à avaler.
• Adapté aux végétariens.
REFERENCES:
1. Albion Research Notes. December 1993. Volume 2, No 6. “Iron Treatment Failure”.
2. http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/anemia.html
3. Albion Research Notes. December 1993. Volume 2, No 6. “Iron Treatment Failure”.
4. Albion Research Notes. February 2003. Volume 12, No 1. “The Iron Conundrum”. Table 1.
5. http://www.emedicinehealth.com/anemia/page3_em.htm
6. Albion Research Notes. February 1996. Volume 5, No 1. “Research on Ferrochel”.
7. Albion Research Notes. July 1992. Volume 1, No 1. “Study Shows Ferrochel Superior to Salts”.
8. British Columbia Medical Association. “Investigation and Management of Iron Deficiency.” 2004.
9. Albion Research Notes. February 1996. Volume 5, No 1. “The Trouble With Iron”.
10. Albion Research Notes. February 1996. Volume 5, No 1. “Ferrochel – Higher Margin of Safety Against Overdose.”
11. Albion Research Notes. February 1996. Volume 5, No 1. “Safety In Long Term Usage”.
12. Albion Research Notes. February 1996. Volume 5, No 1. “Safety By Nature”.
* Indique qu’il s’agit d’un extrait.