On estime qu’environ 90% de la population connaîtra au moins une fois dans sa vie un événement traumatique. Cela peut être lié au décès d’un proche, à un accident grave, une agression ou toute autre circonstance qui vient bouleverser notre équilibre et jouer sur la santé mentale.
Les problèmes de santé mentale n’ont pas toujours été très bien compris et même si on ne connait pas encore tout à ce sujet aujourd’hui, on a bien avancé dans les dernières décennies.4
En effet, depuis plusieurs années, les recherches et les mentalités ont évolué et les stigmates eux, ont reculé doucement.
Même s’il reste des tabous, il est de plus en plus possible de parler ouvertement de santé mentale, de traumatisme, de stress et des symptômes qui en découlent : l’anxiété, la dépression, l’insomnie, l’hypervigilance, les pertes de mémoire (et encore plus).4 Lorsque quelque chose ne fonctionne plus comme avant, de l’aide précieuse peut s’obtenir plus aisément afin de revenir vers une santé optimale.
Le thème traité ici sera celui du traumatisme psychologique, et plus spécifiquement, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) ainsi que les symptômes qui s’en suivent.
C’est un sujet délicat et d’une complexité déroutante. Je ferai de mon mieux pour vous exposer quelques données, fruits de mes recherches récentes, et je vous soumettrai un point de vue en tant que Naturopathe devant les symptômes, parallèlement aux méthodes classiques. Je ne me prétends nullement experte du TSPT.
Et attention ici : on ne dit PAS que les recommandations naturelles REMPLACENT les recommandations d’un médecin et une thérapie en psychologie. Bien sûr, il demeure essentiel de passer par la voie classique.
On ne devrait pas choisir la méthode classique ou complémentaire. Au contraire, il s’agit de marcher main dans la main vers une approche intégrative qui vise le bien-être humain dans sa globalité.
Traumatismes psychologiques et stress post-traumatique : qui est concerné?
Les traumatismes seuls touchent une grande partie de la population. Encore plus que ce que l’on pourrait penser.
En effet, Dre Pascale Brillon, spécialisée en stress et deuil post-traumatique, confirme que 90% de la population en général vivra au moins un évènement traumatique au cours d’une vie.4, 5 Finalement, c’est presque tout le monde que ça touche !
Dans 60% des cas, le traumatisme le plus fréquent est la mort soudaine d’un proche.
Une étude menée sur 2181 sujets a démontré que :
- Près de 40% des gens vivront l’expérience d’une agression physique
- 29% des gens assisteront à la mort ou la blessure grave d’une autre personne
- 28% vivront un accident de véhicule grave
- 17% connaîtront un désastre naturel4, 5
Traumatismes psychologiques et stress post-traumatique : quels symptômes?
Toujours selon Dre Brillon, plusieurs victimes peuvent ressentir des symptômes physiques très forts associés à l’évènement traumatique tels que les crises de panique, sueurs froides, palpitations, étourdissements, bouche sèche, etc. Ces signes physiques viennent d’un mécanisme de protection du corps nommé communément l’anxiété !4
Heureusement, ce ne sont pas toutes les personnes vivant une expérience traumatisante qui vont développer un trouble de stress post-traumatique (TSPT). Il faut bien faire la distinction ; la plupart des gens vont avoir un ou quelques symptômes intermédiaires ou légers, mais surtout passagers.4 Et même pour ces symptômes plus légers, les solutions naturelles évoquées plus bas seront d'un grand secours.
Entre le quart et le tiers des personnes ayant vécu un choc vont démontrer plusieurs symptômes graves et prolongés qui vont aboutir à un diagnostic de TSPT.4, 5
On atteint ici 8 à 9,2% de la population générale, mais le risque chez les femmes se trouve augmenté à cause de la prévalence des agressions sexuelles sur elles.4 (Variable selon les sources)
Selon Dr. Daniel Dufour, la plupart des stress sont reliés directement ou indirectement à un traumatisme. Et selon lui, le TSPT est sous-diagnostiqué.4 En effet, les symptômes physiques peuvent camoufler la cause. Comme des brûlements d’estomac, des maux de dos ou des maux de tête.
Comme la Naturopathie est une approche causale, nous tentons toujours de bien comprendre la cause, tout en s’adressant aux symptômes, mais ce n’est pas toujours facile dans de telles circonstances. Les troubles nerveux peuvent être liés à une réponse inflammatoire.
Stress physique et stress émotionnel
Faisons une comparaison entre le stress encouru par un traumatisme émotionnel/psychologique versus un choc induit par un stress physique comme une commotion cérébrale.
Il y a effectivement beaucoup de ressemblances ; la grande distinction étant que l’impact est émotionnel/psychologique plutôt que physique, mais plusieurs réactions dans le corps sont comparables incluant celle de l’inflammation.
Image tirée de : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27510423/
L’image ci-dessus, tirée d’une étude sur PUBMED, représente l’amygdale, l’insula et le cortex médial préfrontal (centre d’interprétation émotionnel, sensoriel et comportemental) qui envoient des messages de détresse en réponse au stress/traumatisme.
La glande pituitaire sollicite les glandes surrénales pour produire des hormones de stress (cortisol) afin de répondre au danger.
Les cellules immunitaires (Macrophages et cellules T, sur l’image) émettent des messagers inflammatoires nommés cytokines. La protéine C réactive est un marqueur inflammatoire mesurable dans le sang, augmente et stimule de nouveau le centre d’interprétation émotionnel-sensoriel-comportemental (9). L’étude met en lumière le maintien des comportements de peur et d’anxiété en lien avec les marqueurs inflammatoires dans le TSPT.
Traumatismes psychologiques et stress post-traumatique : l’intestin, le deuxième cerveau
Les systèmes nerveux central et intestinal se forment à partir du même tissu initial lors du développement fœtal.7, 17
L’activité des neurones intestinaux est si importante que la littérature scientifique sur le lien étroit entre le cerveau et l’intestin a explosé dans les dernières années.7
En effet, ces deux organes essentiels fonctionnent de manière interdépendante en entretenant une communication bidirectionnelle via le nerf vague. Ce nerf est le plus long des 12 nerfs crâniens ; il représente le canal d’échange entre le SN central et le SN intestinal. Les informations reçues dans l’intestin via le nerf vague assurent de nombreuses fonctions involontaires dans l’organisme sans même que le cerveau n’intervienne directement.7
La relation cerveau-intestin
Les bactéries qui colonisent l’intestin stimulent le nerf vague et influencent ainsi les fonctions sous-jacentes comme celles du comportement. Donc, tout comme les neurones du cerveau, les microorganismes intestinaux s’adressent au cerveau par le biais du nerf vague.7
En plus de tout ça, l’intestin et les microorganismes qu’il contient produisent une foule de substances importantes, tel que les neurotransmetteurs.
La sérotonine (le neurotransmetteur du bonheur et du bien-être), sur laquelle plusieurs médicaments anti-dépresseurs agissent dans le cerveau, est en fait principalement produite au niveau intestinal. En effet, la production de sérotonine faite dans le ventre plutôt qu’entre les deux oreilles est de l’ordre de 80% à 90%.
Il en va de même pour une foule de molécules y compris les autres neurotransmetteurs tels que la dopamine, le GABA et même la mélatonine, cette précieuse hormone du sommeil.
Il ne faut pas penser que les neurotransmetteurs produits au niveau intestinal vont traverser la Barrière Hématoencéphalique qui protège le cerveau. Non, ils auront un effet sur le cerveau en se fixant au récepteur intestinal pour communiquer les messages par le nerf vague.7
Il faut bien comprendre ici que le partage d’information entre "les deux cerveaux" se passe dans les deux sens. C’est-à-dire que des troubles gastro-intestinaux sont à même de causer de l’inflammation dans le cerveau et que l’impact d’un traumatisme émotionnel au cerveau est aussi susceptible de causer des troubles gastro-intestinaux.13 Il s’agit là de symptômes assez communs d’un ou plusieurs évènements stressants.5
Une réponse commune au stress et aux traumatismes
Lorsque l’inflammation fait rage dans le cerveau à la suite d’un évènement traumatisant, l’intestin répond lui aussi au choc et à la tempête de cytokines, à la montée du cortisol et à l’élévation de la protéine C réactive. Parmi les marqueurs inflammatoires notés lors d’études sur des patients ayant vécu un traumatisme ou un stress éprouvant, on a pu relever la zonuline dans leur sang.10
La zonuline est une protéine de la famille des peptides produite et libérée par l’intestin lorsqu’il y a un relâchement des jonctions serrées de celui-ci. Il représente donc un marqueur inflammatoire directement lié à la porosité intestinale, plus connue sous le nom anglais de "leaky gut". Tel que mentionné précédemment, l’intégrité de la muqueuse intestinale et de son microbiome est un signe très important de santé globale et même de santé mentale.7, 10
La réponse au traumatisme implique une réaction de plusieurs systèmes : nerveux, immunitaire, glandulaire et digestif !
En somme, du bonheur dans le cerveau = du bonheur dans l’intestin
ET du bonheur dans l’intestin = du bonheur dans le cerveau.7
On peut ainsi se servir de cet axe pour soutenir une démarche de retour à la santé psycho-émotionnelle.7
Traumatismes psychologiques et stress post-traumatique : Parlons des solutions naturelles
En comprenant bien le mécanisme d’interaction entre les système nerveux, digestif, glandulaire et immunitaire, nous pouvons passer par l’intestin pour atténuer la réponse inflammatoire et ainsi apaiser les symptômes nerveux associés au traumatisme, à l’anxiété, à la dépression, aux troubles gastro-intestinaux, à l’insomnie, à l’hypervigilance, etc.
1) Les solutions naturelles pour une bonne santé intestinale
Dans son livre Brain Maker, traduit sous le nom : L’intestin au secours du cerveau, le Dr David Perlmutter explique l’importance de la santé de l’intestin et de l’équilibre des bactéries intestinales pour un cerveau en santé.7
Il met beaucoup d’attention sur la qualité de l’alimentation, notamment :
- Les aliments fermentés riches en probiotiques et prébiotiques qui nourrissent les bonnes bactéries.7 Il évoque les légumes fermentés comme le kimchi, la choucroute, le kéfir, le yogourt (également celui à base de coco) le kombucha, le tempeh, etc.7
- Une alimentation faible en glucides et riche en fibres. Selon lui, plus vous consommez de sucre, plus votre microbiote sera malade et plus vous stimulerez vos marqueurs inflammatoires, tant intestinaux que cérébraux.
- Une alimentation riche en bons gras, comme les oméga-3.6, 7
- Une alimentation exempte de gluten qui est nuisible pour la santé de l’intestin7 et directement relié à une augmentation de la zonuline, recommandation soutenue par les travaux du Dr Alessio Fasano.7
- L’eau doit être filtrée pour enlever les substances chimiques comme le chlore qui est dommageable pour les bactéries de l’intestin.7
- Il recommande aussi de jeûner à chaque changement de saison.7 J’ajouterais à chaque jour sur une période de 12 heures. Par exemple, ne boire que de l’eau entre 19h et 7h.
- L’ajout de probiotiques en supplément.
2) Les solutions naturelles : Calm Biotic de Natural Factors
Avec Calm Biotic, la compagnie canadienne Natural Factors offre un probiotique spécifiquement conçu pour soutenir l’axe intestin/cerveau, c’est-à-dire : deux souches brevetées de probiotiques (souche humaine et souche laitière) pour lesquelles les études ont démontré un impact positif significatif sur le stress, l’humeur et le sentiment d’anxiété.11
Un essai à répartition à double insu contre placebo a aussi démontré une action sur les inconforts gastro-intestinaux liés au stress, en 3 semaines d’utilisation.11
3) Les solutions naturelles : le magnésium
Le magnésium est un macro minéral majeur dans l’organisme ; il contribue à des centaines de réactions métaboliques essentielles.16 En effet, avec la B6, il est essentiel à la synthèse de la sérotonine et de la mélatonine, autant dans le cerveau que dans l’intestin.16
Le magnésium a un pouvoir sédatif, puisqu’il augmente l’affinité de la mélatonine avec ses récepteurs. Il est donc excellent de le prendre le soir pour favoriser le sommeil.
Notons qu’une carence en magnésium peut provoquer de l’insomnie, de la fatigue, des changements psychologiques comme de l’anxiété, de la confusion et des troubles de concentration et de la mémoire.16
La glycine joue un rôle de transporteur au niveau intestinal en accompagnant la molécule de magnésium. Elle peut aussi être recyclée pour produire du GABA car elle en est un précurseur.
Le dosage thérapeutique se situe entre 300 mg et 600 mg pour un adulte.16
L’absorption maximale ne dépasse pas 200 mg à la fois. Pour des dosages plus importants, il faut donc espacer les prises tout au long de la journée. Par exemple, 200 mg au diner, 200 mg au souper et 200 mg au coucher. À noter qu'un dosage quotidien de 600 mg est considéré comme élevé.
4) Les solutions naturelles : le Complexe B Actif
Les vitamines du groupe B sont essentielles pour une fonction nerveuse optimale.16 Comme un train avec plusieurs wagons, il est préférable de les prendre ensemble à moins d’avis contraire d’un naturopathe de confiance.
Natural Factors offre un complexe B actif BioCoenzymé, c’est-à-dire que les vitamines sont déjà sous la forme active, prêtes à être utilisées par l’organisme.11, 16 Si elles ne sont pas déjà coenzymées (dans le cadre d’un complexe B régulier), elle doivent être converties dans notre corps, ce qui ne se fait pas toujours de façon optimale selon notre génétique et notre alimentation.
Explorons ensemble la beauté de chacune de ces vitamines trop souvent oubliées.
B1 - Thiamine
- La carence en B1 rend une partie du système nerveux particulièrement vulnérable à l’inflammation.11
- Diminue le taux d’acide lactique et par le fait même, peut réduire l’anxiété.3, 11
B2 - Riboflavine
- Assure un niveau de glutathion peroxydase qui est souvent inversement proportionnel à l’inflammation.3, 16
- Participe à la production d’énergie.
B3 - Niacine
- Essentielle au bon fonctionnement du système nerveux et digestif.16
- Favorise la conversion de la sérotonine en mélatonine, aidant à atteindre un bon sommeil
- Diminue la destruction du tryptophane (précurseur de sérotonine) par le foie
- Lorsqu’il y a carence en B3, le corps convertit le tryptophane en B3 (laissant moins de place pour la sérotonine).3, 16
- Favorise la production de PGE3 (anti-inflammatoire).3, 16
B5 - Acide pantothénique
- Un manque de B5 est associé aux troubles du sommeil.
- Synthèse des gras et des hormones.3, 16
B6 - Pyridoxine-5 Phosphate
- Une carence peut entrainer de la nervosité, de l’irritabilité et même de la dépression.16
- Avec le magnésium, participe au métabolisme de la sérotonine.
- Soutient la production du GABA.
- Équilibre certains médiateurs inflammatoires.3, 16
B9 - Acide folique
- Nécessaire à un taux optimal de sérotonine
- Avec la B12, participe à la dégradation des hormones de stress comme le cortisol.3, 16
B12 - Méthyl Cobalamine
- Aide à la synthèse de la dopamine et de la sérotonine
- Aide à la production de mélatonine par la glande pinéale
- Avec la B9, participe à la dégradation des hormones de stress.3, 16
5) Les solutions naturelles : Theracurmin de Natural Factors
Les recherches abondent sur le curcuma. Cette épice de la famille du gingembre et qui est primordiale dans la constitution du curry est maintenant reconnue pour ses propriétés anticancer, antioxydant, anti-inflammatoire, soutenant des fonctions du foie et plus encore.
Natural Factors offre un produit qui libère le composé actif du curcuma, la curcumine, de façon à avoir une assimilation optimale.
Dans le sujet qui nous concerne ici, la curcumine est à même de diminuer l’inflammation au cerveau ET dans l’intestin.
En effet, des études ont démontré une action thérapeutique de régulation sur différentes voies de l’inflammation, notamment, les cytokines. Par ricochet, elle a un effet neuroprotecteur sur le cerveau.11 N’est-il pas formidable de pouvoir accompagner un cheminement psychologique par des molécules qui travaillent aussi pour notre bien-être ?
6) Les solutions naturelles : les plantes adaptogènes
Les plantes adaptogènes sont des plantes utilisées traditionnellement pour soutenir l’adaptation du corps humain face à son environnement. On parle ici du stress, de l’inflammation, de la surcharge de travail physique et mental et encore plus.
Natural Factors propose une combinaison de plantes adaptogènes et calmantes avec la formule Sérénité.
Ce mélange d’ashwagandha, de ginseng, de lavande et de rhodiola est tout indiqué dans des conditions de stress, de surmenage et autres symptômes associés.
En plus de soutenir l’énergie, la concentration et le sommeil réparateur, il aide à diminuer l’anxiété et la dépression, la fatigue mentale et l’irritabilité.11
L’ashwagandha est connue pour diminuer le taux de protéine C réactive et de cortisol dans le sang. Son effet profondément calmant vient de sa capacité à augmenter l’action du GABA, un neurotransmetteur inhibiteur.11, 15
La rhodiola est connue traditionnellement comme un tonique physique mental et émotionnel.15 Cette plante peut stimuler le système nerveux central afin de réguler les hormones de stress comme le cortisol. Elle aide aussi à augmenter l’affinité des récepteurs pour la sérotonine.11 Elle a été étudiée conjointement avec le curcuma dans un contexte d’inflammation chez les souris soumises au stress, avec des résultats probants en ce qui a trait à la régulation des différents marqueurs inflammatoires.14
Le ginseng sibérien inclus dans le mélange est particulièrement intéressant pour la fatigue et le stress physique.11, 15
La douce lavande permet l’équilibre du mélange en activant le système nerveux parasympathique.11, 15 La production de sérotonine est intimement liée au système nerveux parasympathique et à la détente.17
Les solutions naturelles aux traumatismes psychologiques et au stress post-traumatique : en conclusion
Les interactions sociales et les moments de détente tels que prendre un bain, dessiner, méditer ou marcher et respirer dans la nature peuvent paraître banals mais devraient être pratiqués quotidiennement chez quiconque voudrait conserver ou récupérer sa santé mentale.
En effet, les émotions positives comme le calme et le bien-être soutiennent le système immunitaire, aidant ainsi à réguler l’inflammation systémique, en plus d’activer le système nerveux parasympathique.6, 17
Pour plus d’information sur l’importance de la stimulation du système nerveux parasympathique, vous pouvez consulter l’article consacré au Top 5 des huiles essentielles pour mieux dormir.
En conclusion, j’espère que vous avez apprécié ces explications peut-être un peu plus étoffées qu’à l’habitude. Je souhaite qu’elles vous aident à comprendre la complexité des êtres humains que nous sommes, dans notre recherche constante d’équilibre.
À propos de l'auteur
Marie-France Trudelle, Naturopathe Diplômée
Connaissances approfondies en :
- Nutrition et compléments alimentaires
- Gestion du stress et sommeil
- Activité physique ou mouvement
- Massothérapie
Références
- https://cmha.ca/fr/qui-nous-sommes/acsm-national/notre-histoire/
- https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-chroniques/maladie-mentale.html
- Chaput Mario, Le sommeil tranquille, solutions naturelles à l’insomnie, les éditions Québec livre, 2013, 212 pages.
- Brillon, Pascale Ph.D., Se relever d’un traumatisme, les éditions Québec livre,2017, 269 p.
- Dufour, Daniel Dr, Le bout du tunnel, guérir du trouble de stress post-traumatique, Les éditions de l’homme, 2018 193 pages
- Servan-Schreiber, David, Guérir, Éditions Robert Laffont, S.A » Paris, 2003, 302 pages
- Perlmutter, David Dr, L’intestin au secours du cerveau, Version originale: Brain maker, Hachette livre (Marabout) 2016, 415 pages.
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29016379/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27510423/
- https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4214319
- https://ca.naturalfactors.com/fr
- https://www.euphytosegamme.fr/confort-intestinal/intestin-et-cerveau/lintestin-notre-deuxieme-cerveau
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35089910/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29341943/
- Lessard, Manon, Phytothérapie, IESN, 2014
- Lecompte, Michel, Nutrithérapie orthomoléculaire, IESN, 2016
- Marieb Elaine N. et Hoehn Katja, Anatomie et physiologie humaine, Quatrième édition, éditions du renouveau pédagogique, 2010, p. 519-520
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